Les mercredi, jeudi et vendredi de 14 à 18 h et sur R. V.
Avec un K comme KOMA
Il s’agit des traces d’une performance réalisée à Mons en décembre 2015 au cours de laquelle des participants anonymes ont pris en charge un objet qui procède d’un vocabulaire plastique proche d’un alphabet.
En l’occurrence la lettre « K »
L’intention est de susciter chez « l’autre » la réalisation d’une action, de l’entraîner à exercer ses capacités imaginatives dans l’image qu’il va faire de cet objet.
Il en résulte un « petit théâtre du monde » dont les saynètes s’offrent à voir en un résumé à la fois ludique et grave d’une façon d’être à ce monde.
Exposition visible du mercredi 23 au dimanche 27 de 14H à 18H et sur R-V
Clôture le dimanche 27 juin de 14h à 18H. Le verre de l’amitié vous est offert à 16H.
Avec l’aide de la Fédération Wallonie-Bruxelles
et de la Province de Hainaut
Les ateliers « C’est Extra » sortent de leur cadre.
L’exposition donne à voir un mélange de dessins autour du portrait et du regard réalisés lors d’ateliers mixtes issus de notre partenariat avec le SRNA (Service Résidentiel de Nuit pour Adultes) de Ghlin.
A travers un cadre vide, les personnes ont joué à se mettre en scène et à se dessiner, en utilisant différentes techniques
Une production abondante en a découlé. C’est sous cet angle là, que nous montrons ici les dessins hors de leur cadre, en jouant sur l’accumulation et l’abondance sans étiqueter qui sont les personnes « normées » et les personnes « handicapées ». Les préjugés tombent et le jeu continue.
Exister, c’est s’exposer à la part toxique de l’existence, parfois immunisante, parfois fatale.
Exposer sa vie, pour la vivre jusqu’à ses puissants retranchements, fait du bien et la justifie.
Les personnages du carnaval ont toujours été au centre de la lutte symbolique contre la maladie, la
mort, entre dieux et diables.
Quand le virus est là, qu’il cherche ses victimes, le masque le déroute.
Le carnavaleux est un trompe la mort qui brave l’ordre naturel, donc, celui aussi de la faucheuse.
Et l’alcool et le bruit des tambours aident à dépasser la peur.
Et les ronds sont cercles magiques animés dans le sens contraire des aiguilles du temps mortel.
Et c’est pour cela que l’homme se fait femme, pour protéger l’épouse fécondée, recluse, à l’abri de
la maison ! Leurre.
Parfois, bien sûr, il devient cet épouvantail empaillé, coquet et décoratif tremblant de peur au premier flocon et au jacassement d’une pie … ou d’un virus.
Le paradoxe était mieux présent chez nous dans les déguisements des années 1960, plus grossiers,
plus vitaux.
Autour du gille : des masques ; un vrai médecin déguisé en clown côtoie ses patients travestis en
carabins, infirmières velues au milieu de comparses meurtris de fausses blessures, membres enflés, furoncles, plaies et autres purulents pansements . Un monde à l’envers.
Jean-Pierre DENEFVE
Du mardi 16 février, mardi gras, au dimanche 18 avril
Jeudi, vendredi, samedi de 14 à 18 h
sur rendez-vous uniquement
Selon le protocole sanitaire du jour proposé par la F.W .B
Dans ce multiple jeu de facettes réfléchissantes – réfléchies ( dans les deux sens du terme) -, l’espace, l’être et le temps deviennent ainsi non des constituants de vie mais les preuves éblouissantes et éclatantes de l’étrange et presque terrifiante vanité de l’existence.
Pierre-Jean Foulon
Vernissage le vendredi 23 octobre de 18 à 22 h
Selon le protocole sanitaire du jour proposé par la F.W. B
Exposition du 23 octobre au 19 décembre
jeudi, vendredi, samedi de 18 à 22 h
Et sur R. V. uniquement par téléphone : 065/31.79.82
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